Brown girls / Les filles comme nous
English review will follow Je vous disais dans la chronique de The Other Black Girl que la prochaine partagerait des points communs avec elle. Hormis les titres semblables, bien sûr. En raison des similarités j’ai choisi de les publier l’une après l’autre, même si je n’ai pas lu les deux livres consécutivement (il s’est écoulé plus d’un mois entre les deux). Brown Girls / Les filles comme nous contient environ 200 pages, mais ça m’a pris un peu plus de temps à lire qu’un bouquin de même volume, parce que je n’arrêtais pas d’inscrire des annotations. Je dois mentionner qu’on est devant un style peu ordinaire. Narré à la première personne du pluriel c’est un roman polyphonique, un « nous », une réelle chorale. Ce sont les voix de toutes les filles qui ne sont pas caucasiennes (d’origine sud-américaine, asiatique, antillaise, etc.). Il ne s’agit pas ici d’un récit d’apprentissage dans le sens de passage à l’âge adulte, mais plutôt de la vie, du début à la fin. Écrit parfois tel un