Et si les chevaliers de l’apocalypse étaient des femmes blondes?

C’est la question qu’on se pose à la lecture du troisième roman d’Emily Schultz. Carrément! J’ai piqué un tant soit peu votre curiosité? Alors, je vous raconte. Dans la vingtaine, Hazel Hayes, une jeune Torontoise fille de coiffeuse étudie à New York afin de faire des recherches pour son mémoire sur l’esthétologie. Jusque-là, rien de particulier. Elle fait son train-train quotidien, tout en tentant de gérer au mieux une nouvelle inattendue. Elle est enceinte de son directeur de mémoire. Encore là, pas de quoi s’indigner outre mesure. C’est alors qu’une étrange pandémie touche le monde. Un virus s’attaque aux femmes blondes, que leur crinière soit de cette teinte naturellement ou le fruit d’un rendez-vous au salon de coiffure. Les premiers symptômes de la maladie sont des cris, des grimaces, ou encore l’expression de sentiments négatifs. Puis, ces femmes hystériques deviennent violentes et se livrent à des meurtres. Les manifestations de la maladie se multiplient et Hazel est témoin de ...