Messages

Affichage des messages portant l'étiquette Annie-Claude Thériault

Annie-Claude Thériault remporte le Prix de la nouvelle Radio-Canada

Image
© Fabrice Gaëtan C’est Annie-Claude Thériault qui se mérite la Prix de la nouvelle Radio-Canada, pour sa nouvelle titrée  L’abattoir . Le jury, composé de  l’auteure acadienne France Daigle, de l’auteur de romans policiers Martin Michaud et de l’auteure et éditrice Mélanie Vincelette, l’ont choisi pour la singularité de l’écriture de l’auteure. Il soulignent «  la virtuosité de l’écriture et le pouvoir d’évocation » de madame Thériault.  Son premier roman Quelque chose comme une odeur de printemps , publié en 2012 aux Éditions David, nous avait particulièrement charmé. Tout comme son roman, la nouvelle  émeut. Annie-Claude Thériault a une plume très sensuelle. On sent, on voit, on goûte! C’est une écriture travaillée, imagée.   La lauréate recevra une bourse 6000 $, offerte par le Conseil des arts du Canada, et aura droit à une résidence d’écriture au Centre Banff, en Alberta. Sa nouvelle sera publiée dans le n...

Quelque chose comme une odeur de printemps d'Annie-Claude Thériault : Une agréable découverte, malgré un bémol

Image
Par La Bouquineuse Boulimique / Yannick Ollassa Je l’ai souvent mentionné, j’aime découvrir de nouveaux auteurs. Je me laisse influencer par les couvertures, par le résumé de l’histoire ainsi que par les thèmes abordés. Le titre aussi. C’est la première chose qui m’a attirée du roman d’Annie-Claude Thériault. Ensuite, j’ai été interpelée par les sujets traités, soit la santé mentale, les relations familiales et amicales. Après ma lecture, je peux affirmer que mon intuition ne m’a pas trompée. J’ai été tout simplement charmée par la plume de l’auteur. Béate est une adolescente qui vit dans une famille, disons, un peu particulière. Joachim, son frère aîné souffre vraisemblablement de schizophrénie. Elle juge que ses parents sont immatures, semblant fuir leurs responsabilités. Philomène, sa petite sœur très rationnelle, très logique, se dit qu’elle ne peut rien faire, donc elle s’en préoccupe plus ou moins, obnubilée qu’elle est par l’étude des truites. Béate est la seule qui semble voi...