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Affichage des messages du juillet, 2014

Gagnante du volet francophone du Prix du récit Radio-Canada

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Crédit photo: Robert Dubé Le jury du Prix du récit Radio-Canada a désigné Tes lunettes sans ton regard, de Joanne Morency , texte gagnant du Prix du récit Radio-Canada 2014. Le récit raconte le quotidien des jours, des semaines et mois qui ont suivi la mort de sa mère. Vous pouvez lire le texte sur le site ICI.Radio-Canada.ca /litterature . Originaire de Sherbrooke, c’est en Gaspésie que Joanne Morency a choisi de vivre. Elle y réside vingt-cinq ans. Après avoir pratiqué à titre de psychologue pendant plusieurs années, elle s’est orientée, au début des années 2000, vers la rédaction et les communications. Son intention étant de consacrer sa vie à l’écriture littéraire. Auteure de cinq livres, dont Miettes de moi (Triptyque, 2009) pour lequel elle a reçu le Prix du Premier recueil  2010 attribué par la Fondation L.A. Finances pour la poésie, à Paris, pour Miettes de moi , parue en 2009 chez Triptyque (Montréal) ainsi que le Prix Jovette-Bernier  2009 au Salon du livre de Rimouski. Vi

Dans la boîte aux lettres cette semaine!

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Cette semaine nous avons reçu le dernier numéro du magazine Spirale, qui contient un dossier sur la littérature canadienne. Sur le bord de la piscine, ça se lit bien, n'est-ce pas? On vous en parle bientôt!

Dans la boîte aux lettres cette semaine!

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On a reçu de belles lectures pour les 7 ans et plus! On vous en parle bientôt! Bon samedi! Frissons à Val-Jalbert , Corinne De Vailly, Le journal de Coralie , Catherine Girard-Audet, Mission : espion , Nadine Descheneaux tous chez Les malins, collection En vacances

Livresquement boulimique au rythme estival

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L'été est maintenant bien entamé et il est temps pour nous de prendre un petit repos avant la nouvelle saison qui débutera dans un mois. Je vous rassure, nous continuerons à lire et à publier. Loin de nous l'idée de vous abandonner lâchement! Mais il est un temps où il faut ralentir le rythme pour partir en force plus tard. C'est ainsi, donc, que nous prenons de pseudo vacances. Nous vous souhaitons (et à nous aussi ;-)! ) de belles lectures! À tout de suite! Yannick Ollassa / La Bouquineuse boulimique

Les finalistes du Prix du récit Radio-Canada

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C’est hier que CBC et Radio-Canada ont annoncé les cinq textes finalistes du Prix du récit Radio — Canada/CBC Short Story Prize. Le volet francophone a suscité l’intérêt de près de 600 personnes, qui ont soumis leur histoire au jury composé du nouvelliste et essayiste Samuel Archibald , de l’auteure et cinéaste Anaïs Barbeau-Lavalette ainsi que de la romancière Kim Th ú y . Les cinq finalistes sont : David Babin de Montréal, pour La ville de tôle; Émilie Bélanger de Montréal, pour Pacotille ; Yannick Marcoux de Montréal, pour Trans nationale; Joanne Morency de Maria, pour Tes lunettes sans ton regard ; Benoit Vachon de Montréal, pour La violence des lettres . 
 Vous pouvez lire les récits finalistes francophones en cliquant sur le lien suivant : ICI.Radio-Canada.ca /litterature . En ce qui a trait au volet anglophone, les cinq finalistes du CBC Creative nonfiction Prize sont : Jennifer Clark de Calgary (Alberta) pour February ; Patti Kay-Hamilton de Fort Smith (Territoires du Nord-Oues

Québec Land : l'intégration au Québec vu par un couple de Français... et leur chat!

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Le sujet est simple : un couple de Français se découvre l’envie d’aller voir ailleurs s’ils y sont. Le Québec leur semble une belle contrée à découvrir, d’autant plus que tout le monde leur dit que « Le Québec, c’est super! » Leur chat sous le bras et leur Permis-Vacances-Travail en main, ils partent s’installer au Québec pendant un an. Le contenu de la BD a été publié sur Internet entre les mois de mai 2013 et février 2014. Ma lecture a suscité un questionnement sur le fond. Sur un an seulement, peut-on réellement appeler ça une intégration, réussie ou non. Il faut bien plus que quelques expressions ou voir du pays pour réellement s’intégrer. Bon, ça, c’est mon côté d’enfant d’immigrés qui se sont bien intégrés, aussi mariée à un immigrant français, critique sur la question d’intégration qui parle. Comme il s’agit d’une BD humoristique et non d’un essai qui se penche sur la question de fond, mettons cela de côté. Sur le contenu même, sur la forme, donc, on retrouve plusieurs tab

Entrevue avec Emmanuelle Caron, auteure de Lorelei en Finistère

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Après la lecture de Lorelei en Finistère , j'ai eu envie de poser quelques questions à son auteure, Emmanuelle  Caron. Je vous livre donc ici notre échange. Votre dernier roman , Lorelei en Finistère,  est une aventure avec un brin de fantastique. On y trouve Joachim et Stéphane qui doivent se sauver de méchants pirates qui cherchent à s’approprier un trésor. Pour plusieurs, les pirates sont chose du passé. D’où vous est venue l’idée de lier les pirates avec l’époque que nous vivons en ce moment? Mes premières lectures ont eu des Pirates pour héros, et/ou le monde de la Piraterie comme toile de fond. Écrire un roman comme Lorelei est donc un hommage au plaisir que j’ai pu ressentir, enfant, au contact de ces personnages aventureux, libres, en marge des codes traditionnels, dans un « au delà du bien et du mal » très séduisant. Pourtant, ce n’était pas les abordages et les combats rocambolesques qui me ravissaient le plus, mais bien l’aura de mystère et de secret, qui enveloppait le

Lorelei en Finistère d'Emmanuelle Caron

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Pour Joachim, la vie n’est pas facile. Sa mère étant dans l’incapacité de s’occuper de lui – elle est alcoolique, notamment –, il déménage avec son grand-père, dans une petite ville de Bretagne. Déménager veut aussi dire changer d’école. Personne n’en est friand, mais pour Joachim, c’est peut-être la chance de recommencer à zéro et se défaire de sa réputation peu envieuse. Certains le disent malveillant, d’autres le croient fou ou encore un peu lent. C’est qu’il a une maladie – la même que sa mère – qui lui fait avoir des hallucinations et des crises. Malheureusement, alors qu’il commence l’école, il se rend bien compte que sa réputation l’a suivie. Il se trouve donc à nouveau isolé et victime de railleries et d’intimidation. Même de la part de Stéphane, une fille qu’il trouve très jolie. Enfin, il ne sait jamais si elle sera gentille avec lui ou non. Bref, il sera rapidement obsédé par Stéphane, la voyant même dans ses rêves. Joachim aimerait être comme tout le monde. Il voudrait bien