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Points de fuite

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Quand une fillette de 5 ans est kidnappée, dans les années 1990, les tensions entre deux familles, les Lavoie et les Lazarre, prennent des proportions gigantesques. Alice, la grande sœur de la petite est policière à la SQ, fait des choix lourds de conséquences et est suspendue. Ne pouvant rester dans l’attente, elle mène l’enquête pour retrouver sa sœur. Ce faisant, elle découvrira des secrets qu’elle n’aurait pu imaginer.   Cette fois-ci, Martin Michaud nous transporte dans le monde des arts. Il s’est quelque peu inspiré du vol du siècle, qui a eu lieu en 1972, au Musée des beaux-arts de Montréal. Dans son histoire, il est question d’un tableau (fictif) qui aurait été dérobé à cette époque. Ainsi, il nous plonge dans l’univers des arts avec trafiquants et des faussaires.    Premier tome d’un triptyque,  Points de fuite  démarre sur les chapeaux de roues. Le lecteur est servi en rebondissements, car ils sont nombreux du début à la fin. J’ai cependant e...

De Montréal à Racca...

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Pour cette nouvelle histoire, Martin Michaud nous plonge dans l’actualité brûlante des passages clandestins vers la Syrie et du Djihad. Tout commence avec un publicitaire, Théodore Seaborn, qui après un licenciement se gave de Coffee Crisp en regardant des enregistrements de la commission Charbonneau. Plongé dans une profonde dépression, il se découvre un jumeau au coin d’un Second Cup de Montréal. Et sa vie va basculer. Menant deux histoires en parallèle, l’une nous montrant la progression de Théodore Seaborn et l’autre impliquant les services secrets français, Martin Michaud ne nous laisse pas une seconde de répit. Bien sûr, ces deux parties vont se recouper et le paysage géopolitique, se complexifier ligne après ligne. Il est impossible de parler plus avant du récit sans risquer de révéler des éléments importants de l’intrigue. Mais je puis vous dire que tout comme certains auteurs de polar très réputés, les dernières pages sont capitales! Derrière les descriptions de Racca et la mi...

Les lauréats Tenebris 2015 dévoilés

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Dimanche soir, lors de la cérémonie de clôture des Printemps Meurtriers de Knowlton, le jury du Prix Tenebris 2015 — Meilleur roman, littérature policière de langue française , distribué au Québec a fait connaître son choix parmi les finalistes suivants : Nous étions le sel de la mer , Roxanne Bouchard (VLB)
 Jack , Hervé Gagnon (Libre expression/Expression Noire)  Repentir(s) , Richard Ste-Marie (Alire) Terminus Belz , Emmanuel Grand (Liana Levi). Angor , Franck Thilliez (Fleuve noir) Richard Migneault , créateur du blogue Polar, noir et blanc , de la chroniqueuse Christelle Lison et de l'animatrice et chroniqueuse Sylvie Lauzon , n’ont pas eu une mince tâche, vu la qualité des œuvres à juger. Leur choix s’est arrêté sur Terminus Belz , de l'écrivain Emmanuel Grand (Liana Levi). Quant au Prix  Tenebris 2015  — Meilleur vendeur québécois , c’est  Violence à l'origine  de  Martin Michaud  (Goélette) qui l’a remporté, devançant  Le Passager...

… le dernier sera le père Noël

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Objet d ’ une  «  lutte acharn é e  »   au sein de l ’é quipe de Livresquement boulimique, voici enfin le nouveau Martin Michaud. Je fus l ’ heureux vainqueur. Je dois avouer qu ’ il me tardait de pouvoir me replonger dans l ’ univers de Victor Lessard, surtout que mes pr é c é dentes tentatives pour lire les derniers n é s de Martin Michaud n ’ eurent pas le succ è s escompt é . C ’ est donc avec beaucoup d ’ impatience et d ’ attente que je me suis jet é   dans la lecture du nouvel opus de ce  Grand  du polar qu é b é cois.  Violence  à   l ’ origine  est le quatri è me roman faisant intervenir le personnage embl é matique de Martin Michaud, le sergent-d é tective Victor Lessard. D è s les premi è res pages, nous sommes plong é s dans l ’ action. En fait, Lessard nous fait descendre dans les  é gouts de Montr é al avec une d é charge d ’ adr é naline n ’ ayant d ’é gal que la puanteur des lieux. Le c œ ur battant  à ...

Les lauréats des prix Tenebris sont...

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... Sous la surface , de l'écrivain Martin Michaud (Goélette), dans la catégorie   Meilleur roman, littérature policière de langue française, distribué au Québec. Les autres romans en lice pour le titre étaient:  Sa vie dans les yeux d'une poupée , Ingrid Desjours (Plon)  Purgatoire des innocents , Karine Giebel (Fleuve noir) Une maison de fumée , François Lévesque (Alire) Puzzle , Franck Thilliez (Fleuve noir) Du côté du Meilleur vendeurs québécois , c'es t Saccages de Chrystine Brouillet (La Courte échelle) qui remporte les honneurs.  Le roman gagnant a été  déterminé selon les statistiques du système d'information et d'analyse Gaspard de la Banque de titres de langue française (BTLF). Il était suivi de Sous la surface de Martin Michaud (Goélette) et Et à l'heure de votre mort , vol. 3 des Cahiers noirs de l'aliéniste de Jacques Coté (Alire) Félicitations aux lauréats, ainsi qu'aux auteurs des autres oeuvres en lice!

Sous la surface de Martin Michaud : une chronique France/Québec !

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Vous le savez, sur Livresquement boulimique, nous aimons vous faire partager nos lectures. Nous avons déjà collaboré avec Serge Léonard, de Libraeria. Cette fois, on récidive avec une valeur ajoutée. Notre rédacteur invité est nul autre que Lionel Clément, créateur du webzine français consacré à la littérature, L’ivre de lire. C’est, de loin, mon webzine littéraire chouchou. Boulimique de livres comme moi, Lionel aime également la littérature québécoise – tout pour que l’on s’entende à merveille! Ses critiques sont fouillées et il s’en dégage un indéniable engouement pour les mots. C’est pourquoi lorsqu’il a été question d’en faire une ensemble, j’ai répondu « oui » avec enthousiasme. Désireux de promouvoir la littérature en langue française auprès de ses compatriotes français, il m’a suggéré que l’objet de cette lecture croisée soit un roman québécois. Vous me connaissez, j’aime beaucoup la France et y passe fréquemment du temps. Une des choses qui m’a toujours attristée quan...