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La septième lune, de Piergiorgio Pulixi

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« Eva, Mara et Vito Strega fêtent la naissance de leur nouvelle unité d’enquête dédiée aux crimes en série dans un hôtel de luxe au cœur du Supramonte sarde, lorsqu’ils apprennent que le corps sans vie d’une jeune fille a été retrouvé dans le parc de Lombardie. Clara Pontecorvo arrive la première sur les lieux, découvrant un crime atroce qui lui rappelle une autre affaire survenue en Sardaigne.  »    La première enquête du quatuor,   L’île des âmes , je ne l’ai pas lue. En fait, je ne savais même pas qu’il existait. Bref,   La septième lune   y réfère, mais j’ai quand même été capable de suivre sans trop être embêtée.     D’emblée, je dois dire que j’ai préféré  Le chant des innocents , un des précédents romans de Pulixi. Ici, l’histoire débute très lentement. Il y a une disparition, mais les policiers ne prennent pas au sérieux l’inquiétude de la famille, ce qui fait que le tout ne démarre pas vite. Ajouté à cela les parties entre Streg...

Le chant des innocents

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Voilà un roman qui démarre sur les chapeaux de roues ! La police se présente sur une scène de crime et trouve une adolescente de 13 ans en train d’asséner des coups de couteau à sa victime, un sourire sadique aux lèvres. Les hommes de loi sont tout autant dégoûtés que déroutés. Ils ne sont cependant pas au bout de leur peine, car le scénario continue de se produire et de nouveaux meurtres sont perpétrés par de jeunes adolescents les jours suivants.   Qu’est-ce qui est le lien entre ces meurtriers ? Qu’est-ce qui les pousse à agir ? Teresa Brusca demande l’aide de son collègue suspendu Vito Strega afin de faire la lumière sur ces homicides et sauver d’éventuelles futures victimes.   Ça se lit hyper rapidement, la majeure partie du texte étant des dialogues. À cela s’ajoutent de très courts chapitres (en moyenne deux pages) et l’on dévore le roman avec plaisir. L’intrigue est captivante, l’écriture efficace, les personnages ont du corps, il n’y a aucune description superflu...