La grosse qui rêvait d'amour
La grosse qui rêvait d’amour traite de grossophobie plus encore qu’il traite de la recherche amoureuse de Samuelle. Les standards de beauté féminins et les exigences envers le corps des femmes font en sorte que celles qui sont grosses ont de la difficulté à trouver l’amour. C’est un roman léger, mais profond. Le ton est léger, les thématiques qu’il touche sont importantes. On y parle d’image corporelle depuis des décennies, mais comment une femme peut-elle changer la façon de percevoir et vivre dans son corps si on n’aborde pas la grossophobie ? Plusieurs personnes grosses, comme Samuelle le fait, ont tenté de s’aimer telles qu’elles sont, mais quand toute la société les regarde avec dégoût ou pitié, qu’elles ont du mal à se trouver des vêtements ou qu’elles expérimentent de la pression sociale ou familiale pour perdre du poids, entre autres, c’est impossible à faire. Nadia Tranchemontagne touche à ses sujets et plus avec finesse et humour. Je partage av...