La femme du serial killer
Du côté de la traduction, il y a des nuances qui ne sont pas bien rendues, par exemple quand deux personnages ont a une relation sexuelle, sans rien d’autre autour, « étaient sortis ensemble », c’est pas ça du tout. Aussi, perso, l’usage répétitive du verbe « gamberger », pour «réfléchir», parfois dans des situations plus sombres, plus introspectives, ben ça m’a agacé un peu. L’utilisation de synonymes aurait apporté plus de fluidité au style.
Nonobstant tout ça, « La femme du serial killer » est un roman qui se lit facilement et qui a plusieurs passages accrocheurs. Par contre, il manque d’un certain raffinement dans l’écriture et la construction narrative pour laisser une impression durable. C’est un bon divertissement, mais il ne révolutionne pas le genre.
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